La « famille »


Questions
Comment faire pour que cette démarche mémorielle ne vire pas immédiatement à l’exclusion de ceux qui n’en font pas partie ? Que faire des conjoints et des branches féminines ? Que faire surtout de tous ceux qui n’appartiennent ni au patronyme ni même à la généalogie mais qui figurent en bonne place et systématiquement sur toutes les photos « de famille » et pour d’excellentes raisons ?

C’est toute l’ambiguïté des démarches de type « cousinade » dans lesquelles les « pièces rapportées » vivent un éternel malaise à devoir justifier de leur présence à un titre ou un autre… Et cette éternelle question de la supériorité supposée d’une « souche », d’un patronyme, d’un clocher… si bien mise en musique et dénoncée par Brassens ci-contre …et qu’il est important de réécouter avant de poursuivre !

Ensemble
C’est donc un mélange volontairement disparate qu’on trouvera dans cette section, d’une famille au sens le plus large telle que décrite dans cette très belle chanson de Goldman, déjà citée, mais ici dans une version actualisée et qui parle aux plus jeunes.

Et ce mélange ne présuppose aucune supériorité d’aucune sorte. Seulement une originalité de souvenirs qu’on a désormais la possibilité de faire échapper à l’oubli. S’agissant de « simples gens » il est important d’en profiter et d’inviter le plus grand nombre à nous suivre !

Né quelque part…
Et tant qu’à s’appuyer sur des chansons, et alors que de très nombreux auteurs ont écrit sur ce sujet (Cabrel, Balavoine, et tant d’autres…) peut-être fera-t-on une place à part à la chanson éponyme de Maxime Le Forestier, ci-dessous, ainsi qu’à une initiative musicale moderne et résolument axée à la fois sur la diversité et sur le rapprochement entre les peuples : Playing for Change.